Participez à une étude nationale sur les conséquences des confinements sur le stress, les relations sociales et la violence intrafamiliale
Les Belges n’ont malheureusement pas échappé aux mesures drastiques et anxiogènes liées à la pandémie et nombreux sont celles et ceux qui s'intéressent à leurs effets sur la vie quotidienne. À cet effet, l’Université de Gand et l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes, sur initiative de la Secrétaire d'État Sarah Schlitz, lancent une grande étude nationale s’intéressant aux impacts des mesures relatives au coronavirus sur le stress, les relations sociales et la violence intrafamiliale en Belgique.
Toute personne intéressée est invitée à participer à cette courte étude (15 à 20 minutes) qui permettrait de déterminer l’impact des mesures actuelles sur le quotidien des Belges. En avril 2020 déjà, une première étude réalisée par UGent avait révélé de lourds dommages selon lesquels une personne sur deux subissait un niveau de stress excessivement élevé. Plus alarmant encore, une personne sur cinq avait révélé être victime de violences domestiques au cours du premier confinement.
Cette seconde étude permettrait de mettre en perspective de nouveaux résultats qui découleraient alors sur la mise en place d’une aide appropriée aux personnes en détresse. Par ailleurs, les résultats de l’étude serviront à régir de nouvelles réclamations en matière de politique et soutiendront le développement d’outils favorisant la prévention des violences domestiques. La participation d'un maximum est donc essentielle !
► Adressé à toustes les habitant·e·s belges de plus de 16 ans, le formulaire d'enquête est disponible ici en allemand, anglais, français et néerlandais.