Alors que les auteurs de violences domestiques encouraient jusqu'à deux ans de prison pour avoir violenter une femme ou un enfant au sein du foyer, cette peine a été largement allégé par le parlement russe. Désormais, les agresseurs n'encoureront qu'une amende ou des travaux obligatoires. Une peine de prison ne sera possible que si l'agresseur récidive dans un délai d'un an...

Un retour en arrière pour la lutte contre les violences faîtes aux femmes et aux enfants dont se félicite la Russie. Un député du parti "Russie Unie" considère que cette mesure est une réponse à ces "pays occidentaux où la violence d'État imposée aux familles est devenue une pratique". Libérer la fessée au nom de la liberté de chacun ? Non ! Cette décision vient légitimer la violence et rejetter dans l'insécurité les innombrables victimes.