Présidence française du Conseil de l'Union européenne : une opportunité pour la société civile ?

Janvier 2022

Pour sa première newsletter de l’année 2022, le groupe « Diversité Europe » du Comité économique et social européen (CESE) a choisi de se pencher sur les divers points de vue de la société civile sur la Présidence française du Conseil de l’Union européenne. Depuis le 01 janvier 2022, les ministres français président les réunions du Conseil de l'Union européenne, institution co-législatrice avec le Parlement européen. Quels sont les avis des acteurs de la société civile sur cette nouvelle opportunité politique ?

Le groupe "Diversité Europe" du Comité économique et social européen vient de publier sa newsletter du mois de janvier 2022 intitulée "Civil society views on the French Presidency of the Council of the EU".

Dans ce numéro :

  • Le point de vue des membres sur la présidence française du Conseil de l'Union européenne

  • Un entretien avec Thierry Beaudet, président du Conseil économique, social et environnemental français

  • Un entretien avec Lucas Meijs, auteur principal de la nouvelle étude du CESE sur les "Nouvelles tendances dans le développement du volontariat dans l'Union européenne"

Télécharger la newsletter ici (disponible uniquement en version anglaise)

Qu'est-ce que le groupe "Diversité Europe" du CESE ?

Mandaté pour la période octobre 2020 à avril 2023, le groupe "Diversité Europe" est un groupe de travail composé de divers·es acteurs·rices de la société civile qui travaillent ensemble pour représenter et exprimer les diverses préoccupations (économiques, sociales, profesionnelles, etc) de la société civile organisée des États membre.

Pour ce mandat, le groupe se concentre essentiellement sur le thème de la pauvreté et sur "le rôle des organisations de la société civile et des initiatives citoyennes dans la lutte contre ce phénomène" afin de "rendre les communautés locales plus durables, résilientes, équitables, productives et socialement justes, tout en maintenant au niveau le plus élevé la gouvernance démocratique, le respect des droits et de l'État de droit".