En mai 1968, les femmes voient la contraception hormonale comme un moyen de s’émanciper grâce à la maîtrise de leur fertilité. Alors qu’à l’heure actuelle il existe de nombreuses alternatives, la pilule est la méthode la plus prescrite et reste la contraception la plus utilisée. Cependant depuis quelques années, on constate que certaines femmes désirent abandonner cette méthode car elles ne veulent plus assimiler d’hormones et/ou par principe écologique. Ces demandes posent plusieurs questions : quels sont les éléments sociologiques qui expliquent ce rejet ? Comment les contraceptions hormonales impactent la santé des femmes et les écosystèmes aquatiques ? Quelles sont les contraintes liées à une méthode comme la symptothermie ? Quelle est l’efficacité des méthodes non-hormonales ? Est-ce que les centres de planning familial doivent s’y former ? Si oui, comment ?

Réunissant à la fois des professionnel-le-s de santé, des chercheur-se-s en sciences sociales et des acteur-e-s du milieu associatif, ce colloque sera l'occasion de porter un regard multi-disciplinaire sur les grands enjeux soulevés par l'évolution des moyens de contraception et de la perception de ceux-ci.

Le rejet des contraceptions hormonales

Cité Miroir, Liège

Mercredi 26 septembre 2018

09:00-17:00

Inscription obligatoire avant le 19/09/2018

activites@planningfamilial.net